Klaq

joined 5 months ago
[–] [email protected] 2 points 3 months ago

Bonne nouvelle.

[–] [email protected] 4 points 3 months ago (2 children)

Salut !

Bonjour aux deux gus qui se sont arrêtés à 4h du matin dans la rue sous ma fenêtre pour discuter bien fort, je suis sûr que c'était l'endroit approprié

Ce genre de truc, ça réveille des pulsions moyen-ageuses à base d'huile bouillante.

[–] [email protected] 3 points 3 months ago* (last edited 3 months ago)

On a la mémoire courte, le PS est le parti qui a fait monter Macron, c'est le parti qui s'est desolidarisé de Hamon, un parti de notables qui ne visent que leur propre carrière, des gens qui ne representent qu'eux-mêmes et n'ont bien souvent jamais rien fait autre chose de la politique. Des jeunes qui ont monté via l'UNEF, puis assistant parlementaire, puis élus parachutés quand c'était pas de l'administration parisienne.

Aujourd'hui ce sont ces mêmes personnes qui rejettent les nouvelles propositions de renouvellement de la politique à gauche. On est globalement aveugle de ces éléments, à part quelques rares médias, les médias généralistes (j'intègre Libération dedans qui joue un manège étrange depuis les européenes) font une présentation pseudo-neutre des enjeux à gauche là où le foutage de gueule et les tractations sont dégueulasses.

Je pige carrément l'écoeurement de Tondelier, on assiste à un énième épisode qui solidifie l'extrême droite, pendant qu'ils se battent pour leurs places, la flamme gagne en puissance.

[–] [email protected] 2 points 3 months ago (2 children)

Bof, on vaut pas mieux. Sinon y aurait déjà manif contre le PS.

[–] [email protected] 3 points 3 months ago

Hâte de voir le film Eat the night, les retours média ont l'air cool.

Sinon vu Animalia, petit chef d'oeuvre. Ça fait du bien de voir un film qui se déroule au Maghreb et ressort pas les poncifs orientalisant de la sensualité etc.

[–] [email protected] 1 points 3 months ago

Ouais généralement quand ça touche les rêves faut marquer une pause.

[–] [email protected] 3 points 3 months ago* (last edited 3 months ago)

Nan c'est un morceau de musique qui tourne de plus en plus avec des mèmes derrière. Y'a eu un remix avec un accent rebeu (yaniss emix) qui rend le morceau encore plus foutraque.

[–] [email protected] 4 points 3 months ago* (last edited 3 months ago) (1 children)

Merci d'être respectueux, le ton que tu emploies ne donne pas envie de poursuivre l'échange.

Je représente pas ce collectif, comme je l'ai déjà écrit je cautionne pas trop ce type de démarche. Ensuite j'ai déjà donné des exemples de comité et consultations avec des modalités d'action et de propositions visant à enrichir la démocratie. L'exemple que tu donnes est donc inopportun.

Enfin, le procès en utopisme semble être une manière peu utile et enviable de juger un problème.

[–] [email protected] 3 points 3 months ago (3 children)

C'est justement l'intérêt des assemblées constituantes de les définir. Ta manière de raisonner par du principe qu'il y aurait au préalable des choses à sauver. Or le but est de rendre sauvable et d'améliorer la gouvernance. Des gardes fous, ça peut être la possibilité de contre pouvoir, l'indépendance de certains par rapport à d'autres (genre indépendance de la justice, des médias etc), ces éléments sont tous à discuter dans une hypothèse commune de meilleure société avec des choix collectifs à élaborer mais aussi de déterminer la possibilité de révoquer ces choix.

L'idée d'expertise est une blague, une assemblée d'experts ce n'est pas une démocratie, c'est une technocratie, le rêve positiviste d'un Auguste Comte par exemple.

[–] [email protected] 3 points 3 months ago (6 children)

Et finalement "plus juste" ça ne veut rien dire et une constituante peut très bien finir par pondre une monarchie absolue. Quand on jete des dés on ne choisit pas à l'avance sur quel numéro ils ont le droit de tomber.

Y'a pas mal d'expériences intéressantes avec le CESE, les consultations citoyennes et aussi les comités citoyens aussi. Enfin ça fourmille d'expériences plus ou moins heureuses sur lesquelles se baser. Ensuite il y a évidemment des gardes fous à mettre en place.

Tes dés, tu ne les jettes pas dans les chiottes, il peuvent aussi ne pas sentir la merde quand tu les ramasses.

Mais sinon à titre perso, j'ai une crainte animale de personnes appréciant la tabula rasa sans même questionner les outils à disposition aujdh.

[–] [email protected] 2 points 3 months ago

Se cantooooooo queeeeeeeeee canto

[–] [email protected] 2 points 3 months ago

Kassdédi à ma terre d'origine où on pouvait dire aussi un petit pain.

 

«Nous ne nous sentons pas hors de notre époque, au contraire nous ne cessons de passer avec elle des compromis honteux. Ce sentiment de honte est un des plus puissants motifs de la philosophie ("). Et il n'y a pas d'autre moyen que de faire l'animal (grogner, fouir, ricaner, se convulser) pour échapper à l'ignoble: la pensée même est parfois plus proche d'un animal qui meurt que d'un homme vivant, même démocrate.» Cette tirade de Gilles Deleuze et Félix Guattari figure en exergue d'un ouvrage qui, lui aussi, «grogne», «ricane», et laisse échapper un souffle de révolte: Vivre et penser comme des porcs, de Gilles Châtelet. Docteur d'Etat en sciences mathématiques, l'auteur est aujourd'hui professeur à Paris-VIII. Après un passage à l'IHES, il fut un temps directeur de projet au Collège international de philosophie.

Gilles Châtelet propose un diagnostic de la société contemporaine, en prenant position, en un sens quasi militaire, contre toute espèce de compromis avec «la force des choses». Vivre et penser comme des porcs ressemble à une photographie du monde d'aujourd'hui. On y rencontre des économistes, sociologues et autres intellectuels, qui fabriquent l'époque à coups de concepts: société tertiaire de services, ère postindustrielle, démocratie-marché, monde communicationnel, fluidité des échanges, autorégulation" On y reconnaît des profils types, cyniquement dénommés Turbo Bécassine et Cyber Gédéon: des gens heureux, libres dans leur tête, «anonymes et précaires comme des gouttes d'eau ou des bulles de savon»: Gilles Châtelet tourne en dérision les effets de manches de la bonne conscience humaniste qui met plus souvent la main sur le coeur qu'au porte-monnaie pour rendre hommage aux charniers en tout genre, couvre de sarcasmes les attitudes niaises du bon genre réaliste qui juge «informatif» le zapping, «communicationnel» le surf sur l'Internet. «L'ordre cyber-mercantile» a réussi à plonger ce monde dans la «fluidité», autrement dit la circulation des biens et des personnes avec une réduction maximale de tous frottements . «C'est l'image photonique du monde rêvé par le financier spéculateur d'un monde où tout bouge absolument sans que rien ne bouge.»

Gilles Châtelet dénonce en outre un dangereux décervelage, car l'ère postindustrielle et postmoderne est aussi «post-métaphysique». Une solide articulation de vérités physiques (du chaos et de l'auto-organisation) avec les prétendues règles de l'économie mondiale est ainsi aux commandes d'un «mécanisme invisible qui est le véritable pouvoir dirigeant de notre monde». Ce pouvoir a la puissance d'une «Grande Armée» qui se fait forte «de conjuguer les talents des vestes en tweed des sciences molles et ceux des blouses blanches des sciences dures». Gilles Châtelet s'élève contre la manipulation du mercantilisme tout-puissant sur les individus, et contre ce qui en découle pour la pensée .

Châtelet montre comment «une science, la théorie générale des réseaux et systèmes (la cybernétique)» a favorisé «la fabrication de comportements garantissant une étanchéité totale à l'intelligence politique». Où l'on se flatte d'être toujours disponible «pour l'échange de tondeuses, de pastèques et surtout, bien sûr,"d'informations sans se contrarier le moins du monde de devenir des "unités organiques plus ou moins complexes, affublées de droits de l'homme et capables de "rétroagir à l'environnement». Il est illusoire de se conforter dans les analogies fumeuses entre une Nature chaotique et autorégulatrice, et une Culture supposée éclose dans quelque «anarchie rationnelle» incitant à un «laisser-faire» généralisé; également faux de réduire l'«homme ordinaire» à un «homme moyen», et intellectuellement douteux de réduire le langage à un pur et simple «rapport instrumental». Elles ont fait naître un vaste soupçon de parasitisme concernant toute activité qui ne manifesterait pas immédiatement une certaine «visibilité opérationnelle». «Et l'empiriste mercantile de beugler: "Il est temps de réquisitionner la science et la religion et de mettre à contribution tous ces savants qui ne fichent rien et tous ces prêtres qui font la guérilla!»

Quelques remarques consolantes: «Le malaxage en peuples-marchés et en cyber-bétail réversible n'a pas encore triomphé! L'excellence comme telle ­ celle des savants, des artistes, de penseurs ou des grands tribuns ­ est respectée par beaucoup de gens qui n'ignorent pas qu'il existe un abîme entre les parasites et les créateurs.»

L'auteur conclut avec un scepticisme confiant qu'il faudra beaucoup d'éloquence à la «Grande Armée» pour faire oublier que «nous serons bientôt sept milliards à être victimes de cette malédiction qui, voici presque deux siècles, scandalisait Burke: "Plus on produit de richesses, plus il y a de paupérisme!» «Le travail est écartelé entre le travail-corvée de la survie et le travail-performance de la Surclasse. C'est négliger que seul le travail-patience engage une amplification inouïe de la liberté, à la fois en extension, par le biais d'un développement de la puissance d'agir de chacun, et en intensité, par la découverte d'une plasticité propre à l'individuation humaine. (") Ce serait peut-être une définition moderne du communisme: "A chacun selon sa singularité. De toute manière, il y aura beaucoup de pain sur la planche, car nous devons vaincre là où Hegel, Marx et Nietzsche n'ont pas vaincu.»

 

Des inégalités sociales qui traversent la France, il n’est que peu, voire pas question dans les débats qui scandent la campagne législative, dominée par la problématique du pouvoir d’achat. Le sujet n’apparaît pas non plus dans la liste des thèmes que les enquêtes d’opinion placent en tête des déterminants des choix électoraux. Pourtant, « la crise de confiance française est très fortement corrélée avec le sentiment de ne pas vivre dans une société tenant sa promesse d’égalité », analyse le chercheur Bruno Cautrès dans l’édition 2024 du baromètre de la confiance politique, du centre de recherches politiques de Sciences po (Cevipof).

Difficile de savoir dans quelle mesure et dans quel sens ce ressenti oriente les comportements électoraux. Mais il caractérise une partie de l’électorat, notamment de ceux qui donnent leur voix au Rassemblement national (RN). « Durant mon enquête, le sentiment d’injustice était très présent », expose Félicien Faury, auteur de Des électeurs ordinaires. Enquête sur la normalisation de l’extrême droite (Seuil, 240 pages, 21,50 euros). Des préoccupations qui, selon son analyse menée dans le sud-est de la France, portent « principalement sur les questions fiscales, résidentielles et scolaires », alimentées par l’impression que « tout un ensemble de ressources – des environnements résidentiels paisibles, des services publics de qualité, des écoles de bon niveau… – sont devenues rares, avec une vive compétition entre groupes sociaux pour y avoir accès ».

Le politiste évoque l’idée d’un « entre-soi raté » chez beaucoup d’électeurs RN, pris entre une « pression par le haut » des plus aisés et une « pression par le bas des plus modestes ». « Beaucoup ont l’impression que “les quartiers” les “rattrapent” », dans leur environnement résidentiel et scolaire. « Ils souhaiteraient pouvoir habiter ailleurs et s’en éloigner, mais ils n’en ont pas toujours les moyens financiers. Leurs ressources sociales ne sont pas à la hauteur de leurs aspirations ségrégatives », explique le chercheur. Cela « crée beaucoup de frustration vis-à-vis des autres groupes sociaux qui vont, eux, bien choisir les quartiers où ils habitent ».

« L’accès aux élites est fermé, mais le bas de l’échelle sociale semble très ouvert et subit de plein fouet la concurrence avec la mondialisation, dont l’immigration est le symbole. Entre les deux, la mobilité sociale n’est plus assurée comme autrefois », analyse le politiste Luc Rouban, chercheur au Cevipof, auteur des Racines sociales de la violence politique (Editions de l’Aube, 192 pages, 18,90 euros).

Les classes moyennes en périphérie

Concernant les écarts de revenus, la France est « au milieu du gué », « ni très égalitaire ni très inégalitaire », selon Louis Maurin, le directeur de l’Observatoire des inégalités. Mais les scènes résidentielle et scolaire, qui sont « au centre de la vie des individus et participent à la construction des sociétés », selon les mots du géographe François Madoré, professeur des universités à Nantes, sont bien le théâtre de phénomènes ségrégatifs, choisis par les uns, subis par les autres, notamment aux deux extrémités de l’échelle sociale.

Sur le plan résidentiel, depuis le début des années 2000, l’augmentation des prix de l’immobilier, bien supérieure à celle du niveau de vie, a ainsi changé la répartition des classes sociales sur les territoires, repoussant les classes moyennes en périphérie. Dans le même temps, la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains a imposé aux communes un quota de logements sociaux permettant, grâce à la politique de la ville, de créer, de maintenir ou de développer la mixité sociale. « Les prix de l’immobilier et l’accès plus ou moins large au parc social permettent de filtrer la population », souligne l’économiste Pierre Madec.

En 2020, une étude de France Stratégie montrait que la ségrégation résidentielle entre les groupes sociaux était relativement stable depuis une trentaine d’années. Elle était néanmoins plus forte parmi les ménages les plus aisés, davantage concentrés dans certains quartiers que les plus précaires. En 2024, une analyse de l’Insee fondée sur les revenus et menée à une échelle plus fine concluait que, « entre 2004 et 2019, les disparités spatiales selon le revenu se sont accentuées dans la plupart des grandes villes » et que « tous les groupes de revenus vivent dans des quartiers de moins en moins mixtes, à l’exception notable des populations les plus modestes ».

Contournements de la carte scolaire

Cédric Van Styvendael, maire socialiste de Villeurbanne (Rhône), une ville qui compte 28 % de logements sociaux et où le prix des habitations atteint les 7 000 euros le mètre carré, éprouve ce paradoxe au quotidien. « Faire habiter des gens différents au même endroit est important, mais cohabiter ne suffit pas à créer l’expérience de l’autre. Il faut que ça se traduise dans la manière dont on se côtoie, on se parle, on se confronte », juge l’édile, qui observe des différences « dans l’usage de certains lieux culturels ou de loisirs », comme les bars et les restaurants..

« Nous sommes dans un pays où la promesse d’égalité est extrêmement forte, constate Louis Maurin. Elle est écrite sur tous les frontons que chaque élève voit tous les jours : liberté, égalité, fraternité. Cela crée des attentes et des déceptions extrêmement fortes. » D’autant que le contraste peut se révéler violent entre la promesse d’égalité des chances et les trajectoires scolaires, influencées plus qu’ailleurs par le milieu d’origine. Or, « la ségrégation scolaire augmente, notamment du fait d’une différence croissante entre enseignement public et privé, même si toutes les situations ne sont pas homogènes », souligne le sociologue Marco Oberti.

Une ségrégation qui évolue indépendamment de celle du parc de logements, du fait des méandres de la carte scolaire et de ses contournements, soit au sein du public, soit du public vers le privé. Dans son ouvrage Vers la sécession scolaire ? (Fayard, 232 pages, 20 euros), le chercheur Youssef Souidi a ainsi montré que, « en moyenne, les élèves défavorisés vont dans des collèges plus défavorisés que leur voisinage, et inversement : les enfants favorisés vont dans des collèges plus favorisés que leur voisinage, et c’est d’autant plus vrai qu’ils vivent dans un quartier défavorisé ».

Si la question de la mixité irrigue de nombreuses actions publiques menées par les collectivités territoriales, nombreux sont ceux qui s’étonnent de l’absence quasi totale de cet enjeu dans le débat public national et de la timidité de l’action de l’Etat en la matière. Le sociologue Lorenzo Barrault Stella le résume : « Ce sont des évolutions larvées et qui ont des conséquences difficiles à percevoir, mais c’est une question politique centrale : on parle là ni plus ni moins que de la manière dont on fait société. »

Sylvie Lecherbonnier et Eléa Pommiers

 

Tu as peur ? Moi aussi.

Je me chie littéralement dessus et peine à réaliser qu'un votant sur 3 veut détruire le pays, ses valeurs.

Des sociologues peuvent m'expliquer le mécanisme d'exclusion de ces classes sociales constituant le vote RN, le sentiment de relégation, la respiration suffocante dans un climat médiatique d'insécurité culturelle, les usines qui ferment, la délinquance, les réformes insultantes, la baisse du pouvoir d'achat. Le bleu, le blanc et le rouge comme ultime refuge, l'identité nationale quand t'as plus d'identité de travail, de cité, de croyances.

Mais j'y crois pas. Le truc que je sens, au plus profond de moi, c'est ce qu'un mec le soir du 1er tour à appeler un vote d'enthousiasme. Ça les fait littéralement bander, pulsion autoritaire, désir de revanche, vouloir à nouveau se sentir maître à bord, en capacité d'exploser des gueules.

Pas grand monde à tilter sur la majorité absolue. Euphémisme de plein pouvoir.

Ça ne veut pas la paix dans les cités, la fin du trafic de drogue, ça veut un remake de la cité de Dieu, des images de Raid qui foutent des gros flingues dans la bouche de jeunes racisés, filmés en 4K en live diffusion sur Cnews. Ça veut pas remettre en question les droits des LGBTQI+, ça veut les humilier, les mettre dans dans états de honte, de marginalité, ça veut les voir aplatis puis écrasés.

Ce qu'ils veulent c'est une guerre civile. La pire ironie de l'histoire : sous prétexte de nationalisme ils veulent nous diviser plus que jamais. Trier le vrai français qui n'existe pas de l'ivraie barbue, lesbienne, chômeur etc etc. Ils oublient que leur nous racistes, sexistes, ne pourra qu'être minoritaire et le sera toujours.

Leur France n'existe pas. Leur France c'est le claquement imbécile du drapeau accroché dans la cour d'un bâtiment vide, c'est le ridicule d'un chant militaire là où il y a besoin d'entraide plus que d'armes. C'est un mollard face au vent.

Le pire, ce qu'ils ignorent ou feignent de pas voir : c'est que tous les gens qui taffent pour eux, qui torchent le cul de leur vieux, nettoient leur rue, administrent leur existence, les soignent, conduisent leur train, leur bus, leur sert à boire au camping, participent à leur divertissement, ce sont ceux qu'ils veulent voir disparaître.

Alors ouais, comme d'habitude, on va serrer les dents. Se serrer les coudes. On habite ici, on est née ici. Ils défendent un projet mort servant un fantasme, nous avons le réel de notre côté.

Alors même si j'ai peur, je sais qu'on sera toujours plus nombreux.

 

Merci d’être arrivé.e jusqu' ici et pour votre soutien !

La consigne :

Vous pouvez écouter librement les titres en ligne sur Bandcamp ou demander un lien de téléchargement de la compilation à cette adresse : [email protected] en échange d'une preuve de don (une capture d’écran) à une des assos suivantes:

Liste non-exhaustive

• NIVEAU NATIONAL & INTERNATIONAL •

Utopia 56

https://utopia56.org/

(Solidarité personnes migrantes et réfugiées)

Les soulèvements de la Terre https://lessoulevementsdelaterre.org/soutenir

(Solidarité luttes écologistes et sociales)

ACRIMED (Action critique média)

https://boutique.acrimed.org/don

(Solidarité luttes culturelles)

Le STRASS - Syndicat du TRAvail Sexuel en France

https://strass-syndicat.org/

https://www.helloasso.com/associations/syndicat-du-travail-sexuel-strass/formulaires/1

(Solidarité luttes travailleurSEs du sexe)

l'Assemblée des Quartiers

Acteur.ices des quartiers qui regroupent plusieurs assos, initiative lancée il y a 2 mois. Iels travaillent à s'implanter sur le territoire :

https://www.instagram.com/assembleedesquartiers/

https://www.helloasso.com/associations/les-quartiers-s-en-melent/collectes/lancement-de-l-assemblee-des-quartiers

(Solidarité Quartiers populaires)

OBSERVATOIRE INTERNATIONAL DES PRISONS

https://boutique.oip.org/719_p_51858/je-fais-un-don.html (Solidarités droits et dignité des personnes incarcérées)

DRIFT - Développement et Réseau d'Initiative Féministe Transrégionale

https://www.helloasso.com/associations/drift-developpement-et-reseau-d-initiative-feministe-transregionale

(Solidarité luttes féministes et LGBTQIA+ en région)

PALMED

https://palmedeurope.fr/index.php/faites-un-don

(Solidarité Palestine)

URGENCE PALESTINE

https://urgence-palestine.com/

https://www.helloasso.com/associations/jeune-palestine/formulaires/1

(Solidarité Palestine)

ACCEPTESS T - Actions Concrètes Conciliants : Education, Prévention, Travail, Équité, Santé et Sport pour les personnes Trans https://www.acceptess-t.com/

https://www.helloasso.com/associations/acceptess-t/formulaires/2/

(Accueil, accompagnement et luttes pour les droits des personnes Trans)

L'INSAART

https://www.insaart.org/copie-de-home

(Solidarité santé mentale - culture)

Confédération Paysanne https://www.confederationpaysanne.fr/gen_article.php?id=2265&t=AGIR%20!

(Solidarité luttes paysannes anticapitalistes et écologistes)

Le Planning Familial

https://www.planning-familial.org/fr/faites-un-don-au-planning-familial-119

(Education populaire. Accueil et accompagnement des personnes pour la défense des droits reproductifs et sexuels, lutte contre les inégalités de genres)

SOS MÉDITERRANÉE https://don.sosmediterranee.org/arya/~mon-don?_cv=1

(Solidarité droits des personnes migrantes et réfugiées en mer)

BANLIEUE CLIMAT https://banlieues-climat.org/don (Solidarité luttes écologistes en quartiers populaires)

COLLECTIF QRA - Queer Racisé·e·s Autonomes

https://www.instagram.com/collectif_qra/?hl=fr

https://www.paypal.com/paypalme/qtpocautonomes

(Solidarité LGBTQIA+ décolonial antiraciste)

Projet Cafi (Coordination des Actions aux Frontières Intérieures)

https://projet-cafi.com/

(Solidarité droits des personnes migrantes et réfugiées aux frontières)

ANAFE (Association Nationale d’Assistance aux Frontières pour les Etrangers) http://www.anafe.org/

(Solidarité droits des personnes migrantes et réfugiées aux frontières)

Project Ground Zero (Film)

https://www.masharawifilms.org/fr/donation/

https://www.mediapart.fr/journal/international/140524/gaza-si-ce-n-est-pas-un-genocide-je-ne-sais-pas-ce-que-c-est

(Solidarité Gaza pour qu'elle raconte son histoire)

• PARIS & IDF •

FRONT 2 MÈRES / VERDRAGON

https://www.front2meres.org/soutenir/

(Solidarité luttes contre les discriminations et les violences faites aux enfants et écoféminisme)

Le comité des jeunes de Belleville pour les mineur.es isolé.es

https://www.instagram.com/belleville.mobilisation/

Leur cagnotte : https://www.helloasso.com/associations/liberte-egalite-papiers/formulaires/1

(Solidarité mineur•es isolé•es Paris Belleville)

Collectif Wilson

https://www.helloasso.com/associations/soutien-a-wilson

(Solidarité personnes migrantes et réfugiées Paris Nord-Est)

CENTRE PRIMO LEVI - Soin et au soutien des personnes victimes de la torture et de la violence politique exilées en France.

https://primolevi.org/agir-et-donner/faire-un-don

(Solidarité personnes migrantes et réfugiées)

Les midis du mie

https://www.lesmidisdumie.fr/

(Solidarité mineur•es isolé•es Paris)

Le Centre LGBTQIA+ de Paris et IdF https://www.centrelgbtparis.org/les-associations-adherentes

(Solidarité LGBTQIA+ Paris et IDF)

LAO POW’HER - Lieu d'Accueil et d'Orientation dédié aux jeunes femmes victimes de violences âgées de 15 à 25 ans

https://www.helloasso.com/associations/fit-une-femme-un-toit/collectes/je-soutiens-le-lao-pow-her

(Solidarité luttes contre les violences sexistes et sexuelles)

Le Bureau d’Aide et d’Accompagnement des Migrants et leur pôle LGBTQIA+

https://baamasso.org/fr/pole-lgbtq/

(Solidarité personnes migrantes et réfugiées LGBTQIA+ Paris et IDF)

Le collectif Décolonisons le Féminisme

https://www.instagram.com/decolonisonslefeminisme/

(Solidarité féminisme décolonial)

COLLECTIF HORS SSS

https://horslarue.org/agir/faire-un-don/

• NORD •

L'Auberge des Migrants

https://laubergedesmigrants.fr/fr/

(Solidarité personnes migrantes et réfugiées Calais)

Calais Food Collective

https://www.instagram.com/calais_food_collective

(Solidarité personnes migrantes et réfugiées Calais)

Association Salam

https://www.associationsalam.org/

(Solidarité personnes migrantes et réfugiées Calais)

• SUD-EST •

Roya Citoyenne (Vallée de la Roya)

https://www.facebook.com/royacitoyenne

(Solidarité personnes migrantes et réfugiées Alpes Maritimes)

SOROSA (Sororité, Solidarité, Accueil)

https://sorosa.fr/

(Soutien, accompagnement et défense des personnes exilées dans la Drôme)

https://docs.google.com/document/u/0/d/1ag1W5hfHRIgdn-1J-bv-9d3Qwjdfw95pQSLPb-RPCjI/mobilebasic#heading=h.xun3m61x7qy6

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