Le syndrome de « c'est nul mais je veux savoir la suite » ? Je l'ai avec beaucoup de trop de séries, du coup je limite ce que je commence maintenant. Je pense la pire souffrance que je me suis imposée c'était the walking dead quand même. Heureusement j'ai réussi à ne pas mater les spinoffs.
Il n'est pas passé à l'acte et a perdu l'autorité parentale.
Méfions-nous du discours ambiant, diffusé par les fachos du monde entier, sur le supposé laxisme de la justice. Si foutre les gens en prison facilement et longtemps c'était la solution miracle à tous les problèmes, ça se saurait, et les USA seraient le paradis sur terre. De plus, c'est globalement une fausse nouvelle, on ne met pas de moins en moins les gens en prison. Il me semble que la tendance, au moins depuis Sarko, est plutôt à des peines plus lourdes.
I believe most of the bad things he was accused of turned out to be FUD, Kompromat and defamation.
Pour les banques, refuser d'installer leur appli et leur dire que tu n'as pas de smartphone est la solution. Pour confirmer mes paiements CB, je reçois un SMS je trouve ça très bien. C'est sûr que c'est pas très bling bling, mais comme ça je laisse la possibilité à mon prochain téléphone de n'être ni Android ni iOS (c'est pas encore gagné).
Grosse merde c'était une boutade sur ton "grosso merdo" ;-)
La frontière est maigre entre technosolutionnisme et technophilie !
En effet, c'est assez frappant le manque de nuance sur la question du nucléaire. J'arrive assez bien à identifier le n'importe quoi chez certains antis de mon entourage, du genre qui ont peur du wifi et qui pensent que faire réchauffer sa soupe au micro-onde donne le cancer. Mais au vu du sur-enthousiasme pro- de certains forums peuplés de grosse merdes classe sup occidentales comme moi, j'ai un peu l'impression que certaines industries ont bien réussi certaines opérations de comm qui nous visaient. Comme pour beaucoup de questions environnementales, c'est très dur d'évaluer ce qui est réellement la « bonne » solution, j'imagine qu'il faut essayer de ne pas être trop dogmatique, comme en tout le reste.
Ha oui la pression de réussir ses vacances c'est quelque chose à ajouter dans mon manifeste anti-voyage, merci, je connais bien et je suis déjà tombé dedans. "HO MON DIEU MAIS Y A CE TRUC À VOIR ABSOLUMENT À 150 KM ON FAIT UN A/R DANS L'APREM ÇA VA BIEN SE PASSER".
Du mépris de type "après moi le déluge".
Hehe mais moi aussi j'ai ce travers, je plaide entièrement coupable. L'aspect collectionite n'est pas problématique en soi je pense. Et comme je disais en réponse à l'autre commentaire, toute ce questionnement serait probablement vain s'il n'y avait pas un coût écologique énorme pour le transport.
Je pense qu’il est complètement sans intérêt de rechercher “l’expérience authentique” et où d’essayer de labeliser certaine expérience comme plus authentique que d’autre.
Je ne suis pas défenseur d'une tourisme d'expérience d'authentique au contraire je défends - avec un peu de mauvaise foi puisque j'ai beaucoup touristé et que je le referai, ne serait-ce que parce que ma compagne n'envisage d'arrêter de tourister et que je l'aime - que les voyages c'est sur-côté, quoiqu'on y fasse.
Enfin si ça veut dire que tu considères implicitement tout les modes de vie différent du tiens ou d’une espèce de classe médiane imaginaire qui vivrait de manière pseudo-homogène inauthentique.
Là en effet je ne comprends pas ce que tu dis, mais je sens une pointe d'agacement qui à mon avis est symptomatique de la sacralisation du "voyage". J'aime pas trop les totems. ;o)
Concernant notre nature d'explorateur, ben c'est un peu triste si on n'a qu'un douzième de l'année pour l'assouvir ? D'autre part, une vie n'est pas assez pour explorer les environs d'où on habite. Et explorer/découvrir n'implique pas nécessairement de prendre un vol long courrier. Je suis assez sceptique des affirmations qui concerneraient notre nature humaine, ceci dit, on peut en dire tout et n'importe quoi et en réalité, notre "nature" est assez modelable par notre culture, c'est une des choses qui nous caractérise.
Le touriste qui suit un chemin balisé a une expérience différente de ta vie
Là c'est toi qui m'a mal lu, j'ai dit dans le message auquel tu réponds que j'ai principalement été un voyageur qui suit les circuits touristique au cours de ma vie.
c’est vraiment le truc facile de reprocher aux autres la vapidité culturel de leur voyage
Je me l'auto-reproche également. À vrai dire je pense n'avoir jamais réussi à sortir vraiment des circuits balisés pour touristes, malgré des efforts en ce sens, sauf quand j'ai rejoint quelqu'un qui vivait sur place. Là ça change tout. J'ai également accueilli des touristes gratos pendant plusieurs années chez moi (via bewelcome) et j'aime à penser, orgueilleusement, qu'ils ont eu une expérience un peu différente de ma très touristique ville.
Quand à la théorie, sur l’aliénation des jobs absurdes et la tristesse du quotidien, je pense que c’est rapidement démontré faux par le fait que plus les gens sont riche et confortable plus ils voyagent.
Je ne pense pas que ça démontre quoique ce soit. On peut très bien imaginer que les riches voyagent car c'est un signe extérieur de richesse qu'il est bon d'afficher, que les plus pauvres le font car ils aspirent à devenir riches, ou même chacun des "groupes de richesse" voyagent pour des raisons différentes. (je ne dis pas que ma théorie est valable, c'est avec ton "rapidement démontré" que je ne suis pas d'accord).
désastre écologique
Ben c'est un peu tout le fond du problème. Ce que je dis d'autre c'est accessoire, le désastre écologique c'est la raison.
tristesse infinie
Je pense qu'il est tout à fait possible de décider collectivement de ne plus valoriser autant le fait de voyager, et que le fait que ça soit si "joyeux" de voyager est largement une construction sociale (que l'on doit déconstruire). Il me semble qu'il y a un parallèle intéressant à faire avec l'hyper-consommation. Prenons les fringues par exemple, on sait que ça pollue, c'est fabriqué dans des conditions épouvantables l'immense majorité du temps et pourtant il y a une "joie d'acheter" qu'il est dur de combattre. Décider de rapiécer ses fringues, accepter de porter des trucs un peu délavés est vécu comme triste généralement — il faut déconstruire ça aussi. D'ailleurs, « se déconditionner de la joie d'acheter et se conditionner à la tristesse d'acheter », c'est un autre thème (parmi les 8542 autres) sur lequel j'aimerais écrire un jour (=jamais ^^).
La lambada !
Très sympa comme instru pour bœufer. J'ai déjà entendu des vrais jazzeux en faire sortir des trucs très sophistiqués. Un petit défaut c'est le peu de dynamique je trouve, on peut pas jouer piano (doucement), du coup si c'est utilisé lors d'un bœuf, il faut savoir jouer ponctuellement et pas en continu.